Thread: Dacia Sandero

L' Dacia Sandero appels, mais ce n’est pas tout à fait la bonne affaire il pourrait, ou devrait, être. Chaque marque de valeur a besoin d’un crochet, quelque chose pour attirer votre attention – une everythings une livre ou acheter maintenant payer plus tard slogan. Pour Dacia, la marque de voiture de budget roumaine de Renault, que le crochet est la citadine Sandero – la voiture neuve moins chère en vente en Grande-Bretagne, sans aucune exception. Acquise par Renault en 1999 et relancé en Europe continentale en 2004, la marque Dacia a fait aux rives UK et la Sandero représente la première étape sur l’échelle de modèle. L’offre de seulement 5995, cette cinq portes à hayon est similaire en taille à piliers de classe tels que la Ford Fiesta, la Vauxhall Corsa et la Renault Clio propre, mais il détruit les voitures sur le prix d’autant que 50 pour cent. Possible que c’est grâce à une philosophie de vente unique et implacable mettant l’accent sur le rapport qualité / prix. Alors que la plupart des nouveaux accords voiture sont sucrés par une saine remise sur le prix de liste, les Dacias sont différents. Le prix catalogue est faible – mais c’est le prix que vous payez, instaurer par marge revendeur trop généreux. Et lorsque la voiture dans la salle d’exposition est nouvelle, son bâti sur une plate-forme de Renault recyclée et conçue et équipée au-dessus de tout autre chose d’être singulièrement abordable. Ne pas être particulièrement rapide, élégant, confortable ou intéressante à conduire mais, tout d’abord, d’être bon marché. Comprendre que l’extérieur de chunky et à jour des Sanderos style peut être réellement une surprise agréable. Conçue en parallèle avec la quatrième génération de Clio, la Sandero est destiné à servir le contrepoint parfait à la chic, Renault effete prospectifs. Sa coupe carrée et substantielle pour les yeux, mais pas sans attrait. Cela dit, pas tous Sanderos regarder tout à fait semblable à celui de nos photos. Partage la grande majorité de ses composants avec la berline Logan, il y a deux moteurs à essence et un diesel à choisir dans la gamme – mais surtout, trois garnitures niveaux. Et si vous laisser tomber pour le 1 5995. modèle d’accès 2-litre, 74bhp vous obtiendrez la peinture blanche, des pare-chocs en plastique gris et corps garniture et roues de 15 po en acier, qui donnent à la voiture une saveur visuelle particulièrement austère. À l’intérieur, faibles et milieu spec Sanderos obtenir un carénage bicolore pour soulever l’ambiance un peu, mais niveaux d’équipement sont modestes au mieux. Sur un accès, vous recevez l’essentiel - Direction assistée, banquette arrière rabattable, antidérapage et ancrages des sièges enfant ISOFIX pour n’aller avec votre cabine spacieuse et de coffre décent – mais de theres aucun stéréo, pas de climatisation, aucun verrouillage central et windows démodés d’entraînement. Vous pouvez avoir des subtilités comme une alarme, sat-nav, connectivité Bluetooth et la fi comme vous êtes prêts à payer plus. Ce que vous ne pouvez pas est une colonne de direction avec réglage de portée – un épouvantail potentiel pour les plus grands pilotes. Et vous ne pouvez pas échapper à l’impression que le fait de payer plus pour une voiture comme ça fonctionne contrairement à sa raison detre. S’habiller une Sandero jusqu'à le même niveau d’équipement comme une Fiesta 13 000 serait un acte d’usurpation – parce que, lors de son tout à fait fonctionnel, cette voiture ne respecte pas la norme habituelle de supermini dans beaucoup de façons. Ni vraiment doit-il. Niveaux de performance dans le 89bhp, 0. 9-litres d’essence TCe et la 1. 5 litres dCi diesel sont largement concurrentiels ; ceux du 1. 2-litres d’essence sont moins. Mais aucun de la Sanderos le raffinement mécanique, isolation de bruit ou faire du contrôle pour tenir la comparaison avec une bonne citadine 12 000. Theyre adéquate à conduire ; rarement bon. Le moteur à trois cylindres essence est mieux éduqué que le quatre cylindres 1. 2, mais le couple du diesel est plus convaincant encore ; le diesel est également le seul Sandero susceptible de revenir à une moyenne de 50 mi/gal. Niveaux d’adhérence sont assez légères, mais manipulation est tout à fait exacte, sûr et bien équilibré, bien que plats et insatisfaisantes sièges offrent quelques découragement à la conduite fougueuse. Tout ce qui est assez bon, mer conseiller, youre ne pas payer bon prix supermini pour une Sandero a fourni. Lauréat-spec voitures avec quelques extras optionnels peuvent approcher les 10 000, qui est tout simplement trop à dépenser pour une voiture dont énoncé de mission le conduit si loin de l’état de la technique. Acheté pour beaucoup moins que cela, cependant, la Sandero est dans une classe des siens sur le métal pour l’argent et offre une multitude de compétences joyeux d’aller avec son bas prix libératrice.

The Dacia Sandero appeals, but its not quite the bargain it could, or should, have been. Every value brand needs a hook, something to grab your attention – an everythings a pound or buy now pay later tagline. For Dacia, Renaults Romanian budget car brand, that hook is the Sandero supermini – the cheapest new car on sale in Britain, bar none. Acquired by Renault in 1999 and re-launched in continental Europe in 2004, the Dacia brand has made it to UK shores, and the Sandero represents the first rung on the model ladder. On offer from just 5995, this five-door hatchback is similar in size to class stalwarts such as the Ford Fiesta, Vauxhall Corsa and Renaults own Clio, but it undercuts those cars on price by as much as 50 per cent. Thats possible thanks to a unique sales philosophy and a relentless focus on value for money. While most new car deals are sweetened by a healthy discount off list price, Dacias are different. The price in catalogue is low – but its the price you pay, uninflated as it is by overly generous dealer margin. And while the car in the showroom is new, its built on a recycled Renault platform, and designed and equipped above all else to be singularly affordable. Not to be particularly fast, stylish, comfortable or interesting to drive but, first and foremost, to be cheap. Understand that and the Sanderos chunky, up-to-date exterior styling may actually come as a pleasant surprise. Designed in parallel with the fourth-generation Clio, the Sandero is intended to serve as the perfect counterpoint to the ritzy, effete-looking Renault. Its square-cut and substantial to behold but not unattractive. Having said that, not all Sanderos look quite like the one in our pictures. Sharing the vast majority of its components with the Logan saloon, there are two petrol engines and one diesel to choose from in the range – but more importantly, three trim levels. And if you plump for the 5995 1. 2-litre, 74bhp Access model youll get white paint, grey plastic bumpers and body trim, and 15in steel wheels, which give the car a particularly austere visual flavour. On the inside, low and mid-spec Sanderos get a two-tone fascia to lift the ambience a bit, but equipment levels are modest at best. On an Access you get the essentials - power steering, split-folding rear seats, stability control and ISOFIX child seat anchorages to go with your roomy cabin and decent boot – but theres no stereo, no air conditioning, no central locking and old-fashioned workout windows. You can have niceties like an alarm, sat-nav, Bluetooth connectivity and the like if youre willing to pay more. What you cant have is a steering column with reach adjustment – a potential bugbear for taller drivers. And you cant escape the impression that paying more for a car like this runs contrary to its raison detre. Dressing a Sandero up to the same equipment level as a 13,000 Fiesta would be an act of pretence – because, while its entirely functional, this car doesnt meet the usual supermini standard in lots of ways. Nor does it really need to. Performance levels in the 89bhp, 0. 9-litre TCe petrol and the 1. 5-litre dCi diesel are broadly competitive; those of the 1. 2-litre petrol are less so. But none of the Sanderos have the mechanical refinement, noise insulation or ride control to stand comparison with a good 12,000 supermini. Theyre adequate to drive; seldom good. The three-cylinder petrol engine is better mannered than the four-cylinder 1. 2, but the torque of the diesel is more convincing still; the diesel is also the only Sandero likely to return a 50mpg average. Grip levels are fairly slight, but handling is quite accurate, secure and well balanced, although flat and unsupportive seats offer some discouragement to spirited driving. All of which is good enough, wed advise, provided youre not paying proper supermini prices for a Sandero. Laureate-spec cars with a few optional extras can approach 10,000, which is simply too much to spend on a car whose mission statement leads it so far from the state of the art. Bought for significantly less than that, however, the Sandero is in a class of its own on metal for the money, and offers plenty of cheery competence to go with its liberating cheapness.