Thread: Vision 2020 de Boriss pour la qualité de l'air

Le maire de Londres veut transformer le centre de la capitale en une zone de très faibles émissions. La réponse se trouve avec un certains combustibles fossiles. Boris Johnson, le maire de Londres, a annoncé ce matin qu'il veut créer la mondes première ultra faible émission zone. Ma vision est une zone centrale où presque tous les véhicules en cours d'exécution pendant les heures de travail sont soit nuls ou faibles émissions. Cela offrir des avantages incroyables dans la qualité de l'air et stimuler l'utilisation de livraison et de la masse de technologie produisant peu d'émissions.
Boris veut Transport for London pour travailler sur une étude de faisabilité pour juste comment cette idée pourrait être déployée en 2020. Sons fous, n'est-elle pas ? Et Boris ne sera pas le maire de Londres en 2020 (hes plus susceptibles d'être le leader de l'opposition) aussi, sûrement, que c'est juste un coup publicitaire pour remplir un jour froid en février ?
En fait, c'est une politique intelligente qui ouvre la possibilité d'avoir - enfin - une conversation correcte sur le Co2 et le sens réel des émissions et la pollution. Heres donc ma soumission à TfL...
Chers Transport for London
Zones d'émissions ultra-faibles. Son joli tranchant n'est-elle pas ? Mais il faut s'assurer que tout le monde comprenne la différence entre la pollution et les émissions. Ive été cogner sur la pollution de l'air depuis le ridicule que congestion Charge a été introduit en 2003. Les émissions de CO2 ne sont pas localement dangereux pour la santé humaine. La pollution tels que les particules et les oxydes d'azote, pour lesquels il y a des limites légales de EU, sont nocif et sont responsable de milliers de décès prématurés chaque année.
Et s'il vous plaît ne pas aller au galop sur wild goose Vert chases. L'hydrogène UKs alimente le réseau est plus d'une décennie loin et véhicules alimentés par batterie restera cher, à courte distance, touchées par le froid et incommode pour recharger. En outre, la plupart des véhicules qui feront l'objet de la zone d'émissions ultra-faibles sera détenue par l'entreprise indépendant et privé pour lesquels chaque sou compte. Ces gens voudront véhicules à émissions ultra-faibles abordable, robuste et bon marché de services, comme les diesel conventionnel des véhicules qu'ils conduisent maintenant.
La réponse, comme vous l'avez deviné, est un gaz d'alimentation. Le gaz est le plus faible de Co2 des combustibles fossiles, mais ne produit pratiquement pas de pollution lorsqu'il est brûlé. Jamais demandé pourquoi vous pouvez avoir ouvert des flammes de gaz dans votre cuisine sans être empoisonné?
Estimations VW qu'il y a 231 ans du gaz d'alimentation dans le monde et le British Geological Survey pense theres assez gaz de schiste dans le Royaume-Uni à chauffer tous nos maisons pendant 1500 ans et que nous devrions être en mesure d'extraire facilement d'une valeur de 300 ans. Theres 13. 7 kWh d'énergie dans un kilo de la gaz naturel comprimé : seulement 8. 9 kWh dans un litre d'essence.
Véhicules utilitaires peut être facilement adaptés pour la production de masse, avec tordu, moteurs à essence (donc moins nuisances urbaines) et réservoirs de gaz monté sur le toit. Les nouveaux propriétaires de la compagnie Black Cab peuvent restructurer le vieux bus pour accueillir des bouteilles de gaz. Seul pont autobus peuvent utiliser des réservoirs de gaz monté sur le toit (toute la flotte de bus californien est alimentée par le CNG, comme y a des taxis de Hong Kongs). Points de ravitaillement en carburant peut être logé dans les stations-services existantes.
Même des éoliennes font partie de cette solution. Méthane artificielle est possible en utilisant l'énergie éolienne pour fendre l'eau de mer en hydrogène et en oxygène. Combinant l'hydrogène et du Co2 crée le gaz méthane. Le maire a dit aussi que la construction de machines de site crée 12 pour cent de toutes les pollutions de dioxyde d'azote des capitales. La seule solution est de machines fonctionnant au gaz, comme les chariots élévateurs à essence déjà utilisés dans les entrepôts.
Comme vous pouvez le voir, il y a qu'une seule façon sensée, rentable, monde réel pour créer une zone de POLLUTION ultra faible. La récompense est une ville propre air et rues plus calmes. Et si Londres obtient c'est bon, le reste du pays suivra sûrement.

The Mayor of London wants to turn the centre of capital into an ultra-low emissions zone. The answer lies with a certain fossil fuel. This morning Boris Johnson, the Mayor of London, announced that he wants to create the worlds first ultra low emission zone. My vision is a central zone where almost all the vehicles running during working hours are either zero or low emission. This would deliver incredible benefits in air quality and stimulate the delivery and mass use of low emission technology.
Boris wants Transport for London to work on a feasibility study for just how this idea could be rolled out in 2020. Sounds mad, doesnt it? And Boris wont be the Mayor of London in 2020 (hes more likely to be the leader of the opposition) so surely this is just a PR stunt to fill a cold day in February?
In fact, its a smart political that opens up the opportunity to - finally - have a proper conversation about Co2 and the real meaning of emissions and pollution. So heres my submission to TfL…
Dear Transport for London
Ultra-low emissions zones. Sound pretty cutting edge doesnt it? But we need to make sure everyone understands the difference between pollution and emissions. Ive been banging on about air pollution since the ridiculous Congestion Charge was introduced in 2003. Co2 emissions are not locally harmful to human health. Pollution such as particulates and nitrogen oxides, for which there are EU legal limits, are harmful and are responsible for thousands of early deaths each year.
And please dont go galloping off on wild green goose chases. The UKs hydrogen fuelling network is over a decade away and battery-powered vehicles will remain expensive, short-range, affected by cold weather and inconvenient to recharge. Moreover, most of the vehicles that will be subject the ultra low emissions zone will be owned by the self-employed and private business for whom every penny counts. These people will want affordable, robust and cheap-to-service ultra-low emissions vehicles, like the conventional diesel vehicles they drive now.
The answer, as you might have guessed, is gas power. Gas is the lowest Co2 fossil fuel but produces virtually no pollution when it is burnt. Ever wondered why you can have open gas flames in your kitchen without being poisoned?
VW estimates that there is 231 years of gas supply in the world and the British Geological Survey thinks theres enough shale gas under the UK to heat all our homes for 1500 years and that we should be able to easily extract 300 years worth. Theres 13. 7 kWh of energy in a kilo of Compressed Natural Gas: just 8. 9 kWh in a litre of petrol.
Commercial vehicles can be easily adapted for mass production, with tweaked petrol engines (so less urban noise pollution) and roof-mounted gas tanks. The new owners of the Black Cab company can re-engineer the old bus to accommodate gas tanks. Single-deck buses can use roof-mounted gas tanks (the whole Californian bus fleet is powered by CNG, as are Hong Kongs taxis). Refuelling points can be accommodated at existing petrol stations.
Even wind turbines are part of this solution. Artificial Methane can be made by using wind power to crack seawater into hydrogen and oxygen. Combining the hydrogen and Co2 creates the methane gas. The Mayor also says that building site machinery creates 12 percent of all the capitals Nitrogen Dioxide pollution. The only solution is gas-powered machinery, like the gas-powered forklifts already used in warehouses.
As you can see, there is only one sensible, cost-effective, real-world way to create an ultra low POLLUTION zone. The reward is clean city air and quieter streets. And if London gets it right, the rest of the country will surely follow.