Thread: JUNIOR JOHNSON: 1991 - Bodine, Marlin s'Unir Avec l'Espoir

En 1991, Johnson Junior retourné à une opération de deux-équipe lorsque Sterling Marlin a été introduit le conducteur avec comme deuxième Maxwell House café à titre de commanditaire.

À la fin de 1990, après que Geoff Bodine a aide Junior Johnson & Associates sa meilleure ont depuis 1986 saison, il fut décidé de donner une autre Bodine saison derrière les gués de Johnson.
Mais les grands changements qui s'est passé en 1991.
Dans le monde hautement concurrentiel et plus coûteux, de cours des NASCAR Winston Cup, équipes pour trouver bousculent étaient le type de parrainage qui leur permettrait de suivre le rythme de la technologie, entre autres choses.
Comme d'autres l'avaient fait avant lui ont décidé de Johnson, une ancienne équipe seconde pour freiner les dépenses. Il avait fait la même choisi dans le milieu des années 80 ' Neil Bonnett pilotes et avec par Darrell Waltrip.
Johnson sponsor trouvé des Nations Unies pour sa deuxième équipe. Il savait quel pilote voulait – celui qui il avait refusé de lui deux ans plus tôt.
Johnson a cru sincèrement que particulier pourrait atteindre pilote le statut de superstar Junior Johnson & Associates. Alors qu'il fait beau offres beaucoup.
Ils ne fonctionnait pas.
Donc, pour 1991, Johnson eu à compter sur son deuxième choix, Sterling Marlin et juste voir à quel point il et Bodine exécuterait.
Site de contributions de junior au chaque vendredi tout autre paraîtra au long de la saison.
Je l'ai dit plusieurs fois que, contrairement à mes Report pratiques contractuelles, j'ai signé à Geoff Bodine ONU contrat d'un une en 1990.
J'ai eu mes motifs et de réputation, oui, Geoff têtus contraire et avait quelque chose à voir avec cela.
Mais nous avions été ensemble productif et en 1990. Nous avons remporté de trois courses et a terminé au classement du troisième point. C'était le meilleur Junior Johnson & Associates depliant fait depuis avec nous était fr Darrell 1986, sa « dernière saison de championnat.
Alors j'ai décidé de donner à une autre année de Geoff.
Changements de grands de mais il y aurait de.
J'allais pour revenir à une opération de deux voitures. J'ai senti que je devais faire.
Après une saison seul comme facteur de Johnson, Geoff Bodine devait être un des deux en 1991, une situation qu'il n'aimait pas du tout.

J'ai eu un problème avec quelques petites choses. Il avait atteint le point où une équipe était d'une voiture difficile à financer. J'entends par là qu'il était difficile de faire tout ce que vous aviez à faire pour rester dans la course.
Vous avez eu à vous avez intensivement testeur, l'Union européenne à faire de la recherche et le développement. Vous ne pourriez pas que faire avec Toute une équipe.
Il y avait de Québec, que vous avez choses à faire, cependant, une voiture ne optative se permettre les faire.
Je raisonnais que deux voitures pourraient être contenues frais. Une équipe peut effectuer des travaux de recherche et développement et communiquer les résultats à l'autre, par exemple.
Cela donnerait les deux équipes de tous les avantages au prix d'un.
Il devait être le chemin à parcourir. Et j'avoue que je l'avais vu assez bien fonctionner avec les équipes de Rick Hendrick.
Ironiquement, c'est un arrangement de deux de voitures Hendrick que me laissé pour rejoindre Geoff. Je savais que bien qu'il sacrément n'allait pas être heureux.
À ce moment-là, quelques pilotes voulaient faire partie d'une équipe de deux voitures. Je sais que les choses ont changé au cours de dos le ' années mais il le puis c'était un strictement, non-non pour un Go-Go.
Même avec le partage des coûts, une équipe de deux doit voitures un sponsor supplémentaire. J'ai eu la Budweiser, mais je devais avoir un financement supplémentaire.
Quand J'ai UE le café Maxwell House a décidé de soutenir une deuxième équipe Junior Johnson & Associates.
J'avais besoin d'un Maintenant, pilote.
Je savais qui je voulais. J'avais essayé dur de lui tout juste des Nations Unies une plus tôt.
Comme tant autres, je suis resté intrigué par Alan Kulwicki.
Quand je lui ai offert un tour avant la saison 1990, il a refusé parce qu'il voulait continuer à posséder et conduire, équipe pour sa propre.
Il a reproduit : garder ce qu'il faisait jusqu'à ' à et jusqu'à la réussite. Il a alors il me dit que si il rejoint serait lui faire sentir comme un lâcheur.
Alan Alors Meissnerianis faire sa a choisi, et il l'a très bien fait. En 1990, il a remporté sa première course de la carrière et a terminé neuvième au classement du point.
Je l'avais vu réussir une équipe avec sous-financée. Étant donné que je savais, qu'il était un travailleur, déterminé, le jeune homme.
Ça Vous prenez un peu donnez lui et de temps de tout ce qu'il devait faire et, Eh bien, vous avez une superstar.
Je que j'avais une excellente sentais chance d'apporter Alan Johnson Junior & Associates. À la fin de 1990, il avait du mal à trouver des commandites et fils équipe allait être fr si difficulté de l'argent n'a pas pu être 1991 trouvé.
J'ai fait plusieurs offres beau Alan. Autant en fait, il atteint le point où j'ai dû regarder mon parrainage et comprendre combien je pourrais-tu d'argent payeur un chauffeur.
Il y avait une limite que je pouvais payeur. J'ai Donc dû roncer à contre-coeur sur Alan et j'ai signé Sterling Marlin.
Une Ironie du sort des raisons pour qu'il était refusé m'a Qu'alan c'était qu'il avait un certain sponsor aligné pour avec laquelle il, 1991 ne optative poursuivre ses voies indépendantes.
Quand il m'a dit que je devais être honnête. « Non, je l'ai » Alan, dit « vous n'avez pas, ce commanditaire ».
Alan a insisté qu'il a fait.
J'ai essayé de qu'il n'a persuader le pas. Ce commanditaire, Maxwell House, avait déjà signé avec moi. J'ai eu un contrat avec eux. Je ne sais pas jamais m'a cru Qu'alan.
Mais j'ai bien compris la position de d'Alan. Il a estimé qu'il avait de l'argent, il avait besoin et voulait faire son propre truc tout à fait logique-.
Alan a fait et commanditaire d'un obtenir un Meissnerianis à courir en 1991.
Geoff Sterling Avec et je binnenplaatsje à bord, à de bonnes choses dans la saison 91. Eh bien, il y avait quelques bons moments, mais certainement les numéros indiqués Junior Johnson & Associates depliant tout sauf une bonne année.
Il ne peut pas être une bonne saison quand mon point culminant a été consacrera par la une fois NASCAR, de plus, pour la course avec un moteur à surdimensionné The Winston.
Commentaire j'avoir un moteur pourrais-tu quand notre-dame surdimensionné Chevrolet fini 14^th wagons de 20 de dans un champ ?
NASCAR suspendu chef mécanicien Tim Brewer et moi pour quatre cours.
C'était une farce.
Les résultats de la saison 1991 et qui m'a fait sentir que je venais peut-être à la fin de la ligne.
La productivité n'a pas été aussi qu'il y une élevée. Coûts étaient plus élevés. Politique, pour moi, a été généralisée. Et ce n'était pas de plaisir.
Mais j'ai ensuite, apporté quelques modifications à la fin de 1991 qui a permis à Johnson Junior & Associates d'avoir un rôle clé dans ce qui est dissÉminÉ comme l'une des saisons les plus grands et plus remarquables dans l'histoire de la, NASCAR.

Attachment 3361In 1991, Junior Johnson returned to a two-team operation when Sterling Marlin was brought on as second driver with Maxwell House Coffee as the sponsor.

At the end of 1990, after Geoff Bodine helped Junior Johnson & Associates have its best season since 1986, it was decided to give Bodine another season behind Johnson’s Fords.
But big changes happened for 1991.
In the highly competitive, and more expensive, world of NASCAR Winston Cup racing, teams were scrambling to find the type of sponsorship that would allow them to keep pace with advancing technology, among other things.
As others had done before him, Johnson decided to form a second team in order to curb expenses. He had done the same thing in the mid-‘80s with drivers Neil Bonnett and Darrell Waltrip.
Johnson found a sponsor for his second team. He knew which driver he wanted – the one that had refused him two years earlier.
Johnson sincerely believed that particular driver could achieve superstar status with Junior Johnson & Associates. So he made many handsome offers.
They didn’t work.
So for 1991, Johnson had to rely on his second choice, Sterling Marlin, and see just how well he and Bodine would perform.
Junior’s contributions to site will appear every other Friday throughout the season.
I’ve said more than once that, unlike my previous contractual practices, I signed Geoff Bodine to a one-year deal in 1990.
I had my reasons and, yes, Geoff’s reputation as headstrong and contrary had something to do with it.
But together we had been productive and in 1990. We won three races and finished third in the point standings. That was the best Junior Johnson & Associates had done since Darrell was with us in 1986, his last championship season.
So I decided to give Geoff another year.
But there would be big changes.
I was going to return to a two-car operation. I felt I had to do so.
Attachment 3362After one season as Johnson’s only driver, Geoff Bodine was required to be one of two in 1991, a situation that he didn’t like at all.

I was having a problem with a few things. It had reached the point where a one-car team was difficult to finance. By that I mean it was difficult to do everything you had to do to keep up in racing.
You had to test extensively, you had to do research and development. You could not do that with one team.
There were just so many things you had to do, however, one car could not afford to do them.
I reasoned that with two cars expenses could be contained. One team could perform research and development work and report the results to the other, for example.
That would give both teams all the benefits at the cost of one.
It had to be the way to go. And I admit I had seen it work pretty well with Rick Hendrick’s teams.
Ironically, it was a Hendrick two-car arrangement that Geoff left to join me. I knew darn well that he wasn’t going to be happy.
At that time few drivers wanted to be a part of a two-car team. I know things have changed over the years but back then, it was strictly a no-no for a go-go.
Even with cost sharing a two-car team needs an additional sponsor. I had Budweiser but I had to have additional funding.
I got it when Maxwell House Coffee agreed to back a second Junior Johnson & Associates team.
Now I needed a driver.
I knew who I wanted. I had tried hard to get him just a year earlier.
Like so many others I remained intrigued by Alan Kulwicki.
When I offered him a ride before the 1990 season he refused because he wanted to continue to own, and drive, for his own team.
He wanted to keep up what he was doing and see it through to success. He said then that if he joined me it would make him feel like a quitter.
So Alan kept doing his thing and he did it quite well. In 1990 he won his first career race and finished ninth in the point standings.
I had seen him achieve success with an under-funded team. Given that, I knew he was a hard-working, determined young man.
You take that and give him a little time off from everything he had to do and, well, you’ve got a superstar.
I felt I had an excellent chance to bring Alan to Junior Johnson & Associates. At the end of 1990, he was struggling to find sponsorship and his team was going to be in trouble if the money for 1991 couldn’t be found.
I made several handsome offers to Alan. So many, in fact, it reached the point where I had to look at my sponsorship and figure how much money I could pay a driver.
There was a limit I could pay. So I had to reluctantly give up on Alan and I signed Sterling Marlin.
Ironically, one of the reasons Alan refused me was that he was certain he had a sponsor lined up for 1991, with which he could continue his independent ways.
When he told me that I had to be honest. “No, Alan,” I said, “you do not have that sponsor.”
Alan insisted he did.
I tried to persuade him that he didn’t. That sponsor, Maxwell House, had already signed with me. I had a contract with them. I’m not sure Alan ever believed me.
But I understood Alan’s position. He felt he had the money he needed and wanted to do his own thing – perfectly logical.
Alan did get a sponsor and continued to race in 1991.
With Geoff and Sterling on board I was hoping for good things in the ’91 season. Well, there were some good moments, but certainly the numbers indicated Junior Johnson & Associates had anything but a good year.
It can’t be a good season when my highlight was being accused by NASCAR, once again, for racing with an oversized engine at The Winston.
How could I have had an oversized engine when our Chevrolet finished 14^th in a 20-car field?
NASCAR suspended crew chief Tim Brewer and me for four races.
It was a farce.
That, and the results of the 1991 season, made me feel that perhaps I was coming to the end of the line.
Productivity wasn’t as high as it had been. Costs were higher. Politics, to me, was rampant. And it wasn’t any fun.
But then I made some changes at the end of 1991 that allowed Junior Johnson & Associates to have a key role in what has gone down as one of the greatest, and most remarkable, seasons in NASCAR history.