Le militant «seaux Bleus» john Smith a envoyé à 428 ème judiciaire de la parcelle du quartier Хорошево-Мневники déclaration d'engager des poursuites pénales contre le conducteur de la chancellerie du président Nicolas Шульгинова, qui en raison de leur refus de céder le passage a frappé et insulté. Une image de la vidéo hébergée sur le site de la communauté des «seaux Bleus»un incident est survenu sur le 65 km d'MKAD, le 9 septembre. Comme nous l'avons déjà rapporté, le conducteur d'une BMW avec госномером а068мр97 et спецсигналом (c'est, comme l'a révélé plus tard, Nicolas Шульгинов) s'en est pris avec des coups de poing sur un activiste de la société Ivan Kuznetsova celui-ci sur votre Logan de Renault de ne pas céder son chemin. Dans sa déclaration, Forgerons affirme que Шульгинов a humilié son «honneur et à la dignité des insultes et une gifle». Ces actions sont couvertes par l'article 130 du code PÉNAL de la fédération de RUSSIE (insulte). La déclaration accompagnée de l'enregistrement vidéo de l'incident, le déclenchement de Кузнецовым sur le téléphone mobile et le magnétoscope, et une copie de la déclaration sur l'attaque, qui était sur les talons de l'vise à l'ATS «Prochain». En outre, la victime Kouznetsov a déclaré «Интефаксу», qu'il a l'intention de faire appel de l'amende de 300 roubles pour непропуск de la voiture avec les spetssignalami. qui ont désigné lui agents de la circulation Nord-Ouest de Moscou. Dans le cadre de la procédure de police de la Шульгинов a écrit une explication, laquelle a exprimé sa vision de l'incident. Guide du gestionnaire du président n'a pas cru les brimades de ses employés à l'égard de l'activiste «seaux Bleus» pas si grave délit et en guise de punition, a décidé de retenir de Шульгинова 50% trimestriel de la prime. Selon le code Pénal de la fédération de RUSSIE, l'humiliation de l'honneur et de la dignité d'une autre personne est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 40 millions de roubles, soit obligatoires de travaux sur la durée jusqu'à 120 heures, soit de travaux correctionnels pouvant aller jusqu'à six mois, ou d'une restriction de liberté allant jusqu'à un an.