Ecclestone a écrit à la Cour suprême de New York

En novembre dernier, on nous a dit que la compagnie américaine de Communications Bluewaters Holdings a Bernie Ecclestone pleine et connexes entreprises poursuivis pour 650 millions de dollars. Là encore, c'était un pot-de-vin reçu par Gerhard Gribkovski : selon les plaignants américains, si ce n'était pas, elle deviendrait propriétaire de Bluewaters formule 1.
La poursuite a été déposée au Tribunal de New York, et les défendeurs ont été, compagnie de Ecclestone Alpha Prema, Alpha et Delta Topco, Topco fonds CVC Capital Partners et Gerhard Gribkovski et Bayerische Landesbank.
Toutefois, le chef de la gestion de la formule 1 rejette toute réclamation juridique Bluewaters au simple motif qu'il a jamais vécu aux États-Unis et, par conséquent, il ne peut pas être appliquent la loi américaine.
Que l'on sache, Ecclestone est un citoyen britannique qui vit à Londres, et en Amérique, il arrive seulement dans les cas où engagé des discussions sur les courses. Dans le passé, ainsi que de sa famille, il a également visité Las Vegas, et seulement avec l'année 2005, qu'il était aux Etats-Unis cinq fois – Bernie a officiellement informé les tribunaux de New York dans une déclaration écrite. Il n'a aucune propriété dans les États, il ne loue pas de bureaux et a pas de personnel salarié, à l'exception des avocats représentant ses intérêts devant un tribunal américain. En outre, aucun des événements liés à l'action se passe à Bluewaters, aux États-Unis.
« Divers événements qui sous-tendent les revendications étaient pas à New York ou aux États-Unis et en Europe et au Moyen-Orient, » la déclaration citée Bloomberg Èkklstouna, adressée à la Cour suprême de New York.
En outre, il s'assure que la somme de 44 millions $. traduit par Gerhard Gribkovski, que les tribunaux ont tendance à interpréter comme un pot de vin, n'étaient pas liées à la vente des titres de la formule 1 investissement Fonds CVC et ont été « payés le silence » d'un banquier allemand, menaçant de le partager avec les autorités fiscales britanniques, certaines informations sur l'entreprise familiale d'Ecclestone.
"J'étais inquiet que les fausses informations qu'il allait transmettre aux autorités, être pris au sérieux, et ils peuvent me montrer les créances fiscales à plusieurs centaines de millions, sinon des milliards de livres, bien que je pensais que rien n'était censé. Tout cela pourrait conduire à ma faillite, "Ecclestone dit dans sa lettre.
L'avenir montrera si la Cour tiendra compte de la New York chapter d'explications de gestion de formule 1 ou qu'il s'enclenche sur le côté du Bluewaters. Me souviens encore de cette revendication pleine Ecclestone d'avoir un système judiciaire de l'Allemagne et la Grande-Bretagne.