Thread: Sont les automobilistes plus négligents que les cyclistes et les piétons?

La dernière campagne de publicité de Freinage, la sécurité routière, la charité, vous offre une vue des usagers de la route qui est trop simpliste, Il est difficile de reprocher la pépite de la logique qui sous-tend Frein de la nouvelle route de la campagne de sensibilisation, qui appelle pour les conducteurs de bâton de 20mph dans les zones construites pour améliorer la sécurité des piétons et des cyclistes. C'est le sens commun.
Ce que je fais en désaccord avec, cependant, la campagne est de trop simpliste de la notion que les conducteurs sont mauvaises et les autres usagers de la route sont tous bons. Comme certains d'entre vous abordé lors de vos réponses James Ruppert blog sur les cyclistes, la semaine dernière, les choses dans la vie ne sont jamais aussi claires que Frein à la campagne est en train de suggérer.
Mon expérience est ceci: de même qu'il y a des automobilistes qui démontrent une mauvaise route de la sensibilisation, de la même façon il y a des cyclistes et des piétons qui affichent une affolante manque de bon sens sur les autoroutes et les routes.
Sur mon trajet quotidien, près de Kingston, il me déroute comment de nombreux promeneurs insister sur le passage de routes très fréquentées à moins de 50 mètres des passages pour piétons. À l'heure de pointe, les piétons se retrouvent souvent bloqués entre les voies de circulation qu'ils attendent pour une pause dans les voitures arrivant en sens inverse.
D'autre part, peut-être qu'ils se méfient de l'aide de l'officiel de la circulation-de la lumière-contrôlé passages, parce que certains cyclistes semblent effrontément mépris des feux rouges comme si elles s'appliquent seulement aux pilotes et aux marcheurs.
Un autre Autocar membre du personnel me dit à sa femme - un quotidien de banlieue sur une bicyclette ce qui concerne aléatoire piétons que plus d'un danger sur la route que les conducteurs de voiture.
Bien sûr, les automobilistes sont ceux avec du lourd, du rapide, des objets à leur disposition, et le nombre d'usagers de la route blessés par la conduite dangereuse, chaque année, l'emportent sur les quelques incidents de blessures causées par des cyclistes.
Néanmoins, je trouverais plus intéressant de Frein à la campagne si elle a utilisé la même plate-forme de reconnaître la nécessité pour les cyclistes et les piétons à adopter le même niveau de conscience que c'est de poser des pilotes. En distillant sa campagne un peu trop simpliste slogan, j'ai peur de Frein risques de s'aliéner et de la promotion des personnes qu'il vise à atteindre.
Frein a choisi de faire passer son message par l'intermédiaire de panneaux d'affichage à travers Londres, à l'aide d'une série d'affiches que l'organisme de bienfaisance décrit comme la tête qui tourne.
Avec plus de panneau d'affichage des sites dans la capitale, situé à proximité des grands axes de circulation, j'aurais pensé que la dernière chose que la charité veut faire, c'est faire tourner la tête des usagers de la route et de les détourner de l'exploitation de la voiture, à vélo ou les chaussures qu'ils utilisent un mode de transport.

The latest advertising campaign from Brake, the road safety charity, offers a view of road users that is too simplistic It's hard to fault the nugget of logic that underpins Brake's new road awareness campaign, which calls for drivers to stick to 20mph in built-up areas to improve the safety of pedestrians and cyclists. That's common sense.
What I do disagree with, however, is the campaign's overly simplistic notion that drivers are bad and other road users are all good. As some of you touched upon in your responses to James Ruppert's blog about cyclists last week, things in life are never quite as clear cut as Brake's campaign is suggesting.
My experience is this: just as there are car drivers who show poor road awareness, similarly there are cyclists and pedestrians who display a maddening lack of sense on our highways and byways.
On my daily commute near Kingston, it baffles me how many walkers insist on crossing busy roads within 50 metres of pedestrian crossings. At rush hour, those pedestrians often find themselves stranded between lanes of traffic as they wait for a break in the oncoming cars.
On the other hand, perhaps they are wary of using the official traffic-light-controlled crossings, because some cyclists seem to brazenly disregard red lights as if they only apply to drivers and walkers.
Another Autocar staff member tells me his wife – an experienced daily commuter on a bicycle – regards random pedestrians as more of a hazard on her journey than car drivers.
Of course, motorists are the ones with the heavy, fast objects at their disposal, and the number of road users injured by dangerous driving each year outweighs the few incidents of injuries caused by random cyclists.
Nevertheless, I would find more worth in Brake's campaign if it used the same platform to acknowledge the need for cyclists and pedestrians to adopt the same level of awareness as it is asking of drivers. In distilling its campaign to a overly simplistic slogan, I fear Brake risks alienating and patronising the people whom it is trying to target.
Brake has chosen to convey its message via the medium of billboards across London, using a series of posters that the charity describes as head-turning.
With most billboard sites in the capital situated close to major thoroughfares, I would have thought the last thing the charity wants to do is turn the heads of road users and distract them from operating the car, bicycle or shoes they're using as a mode of transport.