Sénat italien approuve la nouvelle Loi sur la fiscalité, ce qui compromet gravement la possibilité d'organiser un Grand Prix de formule 1 à Monza. Le légendaire circuit National, la première course qui a été retenu au cours de l'année 1922, est en difficultés financières désastreuses, et l'investissement de libération dedans des impôts a été pratiquement le seul facteur soutenant son flot. Si Monza n'est pas exempté, la course historique disparaîtra du calendrier F1 déjà en l'an 2017.
Autodromo Nazionale di Monza est situé dans la banlieue nord de Milan et est détenue par l'État, à savoir les communes de Monza et de Milan. Bien sûr, modestes budgets de l'Etat à passer à côté beaucoup besoin mettre à jour circuit de 92 ans et cette année Bernie Ecclestone est resté très insatisfait par le niveau des dépenses de la course italienne. F1 ancien pilote Ivan Capelli, chef de l'Automobile Club de Milan et est essentiellement gestion des itinéraires, trouvés des investisseurs désireux d'investir plus de 20 millions d'euros lors de la reconstruction, mais la prétendue loi de stabilité, les investissements d'oblagaûŝij, les impôts élevés dufait le programme.
Le contrat entre Monza et FOM n'est valide que jusqu'à la fin de l'année 2016, et une liste de pistes, vouloir attraper le Grand Prix d'Italie, est presque infinie : elle et le célèbre Imola, formule 1 27 fois et aux prises avec des problèmes techniques et Misano et Vallelunga. Encore une fois brassé et promoteurs du Grand Prix urbain à Rome, qui avait déjà refusée il y a plusieurs années. Mais avec tout l'amour de la nouveauté et de diversité, nous sommes toujours pas prêts à abandonner l'autoroute dans l'ancien parc de Monza, étonnante sur la configuration, l'atmosphère et la concentration des faits historiques sur le compteur de la chaussée. Législateurs ne pas à lacher Italie sur vicieuse façon perdre F1 France !